Ahhhh, que le temps passe vite au paradis !! Le paradis... oui, ça doit ressembler à peu près à ça... Certes, tout cela fait très bonheur-chamallow. Mais comment ne pas être étourdi... Reprenons dans l'ordre. 3 janvier, l'appel du sud est le plus fort. Je craque et prends un vol Chiang Maï-Phuket, direction le soleil et les plages de sable blanc. Phuket n'est pour moi qu'une halte d'une soirée. J'y fais cependant la connaissance de Super Hattie, une jolie anglaise, et de Julien et Thierry, la belgian connexion. Nous partons tous dès le lendemain matin, le 4 janvier, par le ferry. Hattie s'arrête à Ko Phi Phi, et les garçons et moi poursuivons jusqu'à Ko Lanta.
Un petit bout de Ko Phi Phi, depuis le bateau. La plage est sensée être la plus belle des environs, mais pendant la haute saison, c'est très très (très) bondé... C'est sur cette île qu'a été tourné The Beach, le film avec Di Caprio, Canet et Ledoyen.
Et une fois à Ko Lanta, le temps s'est arrêté... C'est peut-être pour cela que le blog a pris un petit temps de retard. Je retrouve ici Ben, Julie et Nicolas, "les-3-français-rencontrés à Chiang-Mai-blablabla", ainsi que Stéphane, un de leur amis, qui sont arrivés quelques jours avant. Les journées s'écoulent au rythme des petites criques qu'on explore en se baladant en scooter, des jus de fruits frais à siroter pour se rafraîchir, des balades en bateau pour découvrir les îles des environs et leur belle faune sous-marine (j'ai vu des requins à pointe noire avec mon masque et mon tuba !), et des massages pour se remettre de ces journées magnifiques... Et le pire, c'est que ça passe à une vitesse folle. Le soir, c'est barbecue de poissons et de fruits de mer géant, un verre de rouge à la main et les pieds dans le sable. Rien à ajouter, si ce n'est, tout de même, que ces superbes coins, qui doivent compter parmi ce que notre bonne vieille Terre a de plus beau, ont été, un certain 26 décembre 2004, complètement ravagés par le tsunami le plus grave que la région ait connu depuis 50 ans...









Fais attention on a dû mal à en partir une fois qu'on y a mis les pieds :)
RépondreSupprimer(et c'est dommage qu'on puisse pas zoomer sur toutes les photos)
RépondreSupprimerBon, OK, je vais les mettre en plus gros. Et... oui, difficile de repartir...
RépondreSupprimerQuels beaux sentiments de plé-ni-tu-de !
RépondreSupprimerTes photos et tes commentaires sont si éloquents que c'est communicatif, je m'y vois !
Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés... Rhââââ, on est tous verts de jalousie, enjoy ma Ionion !!!
RépondreSupprimerRaaaahhhh j'te déteste !!! Ici il fait même pas vraiment froid, une espèce de temps bizarre autour de 10°C et bcp de pluie... Profite à fond pour nous ! :)
RépondreSupprimer@Crukichouette des prés : Ahhh... je savais bien qu'ce s'rait bonnn ! ;)
RépondreSupprimer@ Ninie des bois : c'est ça qui est un peu énervant, finalement, vu d'ici : ce serait vraiment plus sympa si vous vous les cailliez sévère à Paris :P
Morue ! ;)
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