mardi 6 mars 2012

Koh Tonsay, l'île au Lapin - Farniente à la playa (5 et 6 mars 2012)

Dimanche 4 mars, je gagne vite fait bien fait la station de Kep. Coucou la mer, ça fait du bien de te revoir ! Ma jolie guesthouse ne pouvant m'accueillir qu'une nuit, je prends dès le lendemain, lundi 5 mars, le bateau pour Koh Tonsay, une petite île au large, en me disant que je visiterai la région de Kep à mon retour. Koh Tonsay : quelques bungalows pour héberger la vingtaine de touristes qui choisissent de passer la nuit ici, des petites huttes en bambou pour se protéger du soleil pendant la journée, 2 ou 3 heures d'électricité le soir... et puis des palmiers, la mer, encore des palmiers, et des crabes, des crevettes, et du poivre de Kampot : MIAM ! Je ne comptais rester qu'une journée et repartir le lendemain, mais tout ici incite à prendre son temps. Alors j'ai un peu prolongé mon séjour. J'en ai profité pour me plonger à tête reposée dans l'histoire du Cambodge et cette période maudite des Khmers rouges. Dur dur d'en comprendre toutes les ficelles. Mais en levant les yeux de mon livre, j'étais généreusement réconfortée.

 

  

J'ai fait le calcul : 50 mètres depuis mon bungalow jusqu'à la plage + 30 mètres pour aller nager = 80 mètres, distance maximale parcourue dans la journée. 
 


 


  


  

6 commentaires:

  1. Rââââââââ trop belles ces photos !!! Pour le coup ça donne envie de faire plus de 80m pour être là

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  2. WAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUWWWWWWWWWWWWWW, cette fois c'est sûr, après la Thaïlande, c'est le Cambodge qui va petit a petit gagner mon coeur! J'en avais déjà très envie, mais LA!!!! Tu vas bien, toi, sinon? Chouettes rencontres?

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    1. Oh, ça va plutôt bien ! Je retrouve Eurydice dans quelques jours pour le Delta du Mekong. En attendant, découverte en solo-moto des plus belles plages du Vietnam !

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  3. Fascinant ce soleil qui tous les jours se lève et se couche sur autant de beauté que nous offre une Nature pacifique et sur autant d'horreur et d'ignominie que nous ont offert les hommes de ce pays. Quel contraste...

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  4. Vues de derrière nos écrans d'ordinateur tes photos sont de véritables tableaux alors qu'est ce que cela doit être avec le chant des vagues qui viennent chatouiller le sable chaud, l'appel des oiseaux à venir les rejoindre pour explorer d'autres cieux....... le rêve. Notre soleil parisien fait bien pâle figure. Continues de bien en profiter;

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