Le Palais est en fait relativement récent : il date du début du XXe siècle. A l'intérieur du parc, il y a plusieurs petits pavillons, qui ne sont pas tous visitables. Le plus important est celui de la Pagode d'Argent, qui abrite une collection de bouddhas et de cadeaux de chefs d'Etat, avec également le "fameux" bouddha d'émeraude (qui est en fait une copie en cristal). La Pagode d'Argent tient son nom des 5000 plaques d'argent massif de 1 kg chacune qui dallent le sol. Les français ont eu le bon goût de faire graver des fleurs de lys dessus. Classe...
La balade dans le jardin royal est assez agréable. Le long des murs de l'enceinte, de jolies fresques un peu abîmées, mais assez fines, retraçant le Ramayana (la vie du prince Rama), une des légendes fondatrices de l'hindouisme. Plein de coins et de recoins un peu ombragés, près des sanctuaires et des tombeaux de la famille royale.

Premier contact très paisible avec la belle Phnom Penh... Il fallait bien ça pour se préparer à la journée du lendemain, mardi 28 février. Voir le post "Phnom Penh - Pour la mémoire", sur la visite de la prison S-21 et du camp d'extermination de Choeung Ek.
Les quelques jours que j'ai passés dans la capitale m'ont permis de découvrir une ville vivante, animée où la vie semble de nouveau douce, après des années de souffrance. Avec la construction en cours de grands immeubles et une circulation rocambolesque, la modernité pointe le bout de son nez, mais le charme n'est pas altéré. A Phnom Penh, j'ai également retrouvé Eurydice, pour de fôôôôôlles soirées à danser la salsa (ouh ça fait du bien !) et à siroter des cocktails avec quelques expats du cru.
Bon, allez, je peux le dire, j'ai eu le petit coup de coeur pour Phnom Penh ! Mais... oh, Chiang Mai, ne boude pas, tu es toujours ma chouchoute !
Les quelques jours que j'ai passés dans la capitale m'ont permis de découvrir une ville vivante, animée où la vie semble de nouveau douce, après des années de souffrance. Avec la construction en cours de grands immeubles et une circulation rocambolesque, la modernité pointe le bout de son nez, mais le charme n'est pas altéré. A Phnom Penh, j'ai également retrouvé Eurydice, pour de fôôôôôlles soirées à danser la salsa (ouh ça fait du bien !) et à siroter des cocktails avec quelques expats du cru.
Bon, allez, je peux le dire, j'ai eu le petit coup de coeur pour Phnom Penh ! Mais... oh, Chiang Mai, ne boude pas, tu es toujours ma chouchoute !
Selon la légende, c'est une certaine Madame Penh qui aurait fondé la ville, en faisant ériger en haut d'une colline (phnom) un petit temple pour abriter quatre statuettes qu'elle aurait trouvées dans un tronc d'arbre flottant sur le Mekong. La première photo, c'est le temple sur la fameuse colline !
Le marché central, 1930, construit par les Français. Ca grouille, à l'intérieur comme à l'extérieur.
A gauche, spot stratégique pour un cocktail au coucher du soleil : la terrasse du FCC, le Foreign Correspondents Club, où se retrouvaient les correspondants de guerre pour écrire leurs papiers. Le boulot me manquerait-il un peu ??

A voir l'institut Pasteur et juste à côté le restaurant où a été tourné le film Holy Lola. Le patron est adorable !
RépondreSupprimerLa Pagode d'Argent doit être vraiment impressionnante ! Voici ce que je trouve sur Internet : "Parmi les pièces les plus remarquables, un petit Bouddha d’émeraude du XVIIème siècle en cristal de Baccarat est placé au centre, avec en face de lui un Bouddha en or de 90 kg, représentant les bijoux du Roi qu'il a fait fondre, incrusté de 9584 diamants." Rien que ça !
RépondreSupprimerça fait plaisir de voir que la vie a repris le dessus à PP et qu'il y fait bon vivre ! et ça fait plaisir aussi de voir que tu es tombée sous le charme !
Gros bisous